Je suis à Lima, la capitale du Pérou, et je vais vous expliquer comment c’est ici.
Avant d’atterrir, quand on était encore dans l’avion, on a survolé des océans, des montagnes, des villes, des villages, des lacs… Mais ce n’était pas encore le Pérou, sauf sur la fin. Depuis l’avion, le Pérou, on en voit surtout des montagnes, de la pollution et des petites maisons grises.
Quand on est arrivés, après douze heures de vol, on était tous très fatigués et on a pris un taxi. Ici, quand on marche en rue et qu’un taxi nous voit, il klaxonne pour nous proposer ses services. Mais le nôtre, on l’avait réservé avant, donc notre conducteur attendait en brandissant une pancarte avec, écrit dessus : « Nicolas Ikman » (il avait fait une faute d’orthographe). On est donc allés à l’hôtel.
En route, j’ai vu beaucoup de choses. Tout d’abord tous les panneaux sont en espagnol, donc je n’y comprends rien.
Deuxièmement, les taxis, les voitures et les bus se cognent presque tellement ils se faufilent et se ruent dès qu’il y a un passage. On entend très très souvent les klaxons : ils klaxonnent pour montrer aux autres qu’ils sont là.
Troisièmement, il y a énormément de chiens errants. Ça me rend triste et je voudrais tous les adopter. Il y a aussi beaucoup de petits vendeurs de rue. Ils vendent des porte-clés fait mains, des masques en tissu très colorés, et des biscuits… Certains petits magasins sont juste des armoires à roulettes qui débordent de sucreries. Il y a même un petit garçon qui m’a fait penser à Tojyro, le héros du livre qu’on a lu en classe !
Je pense que je réécrirai un texte quand on sera à des endroits un peu plus beaux qu’ici.
Éline



